Noël ! Joyeux Noël.... ou L'alibi culturel de la gourmandise !
LA fête de fin d'année arrive, et avec elle ses cortèges de propositions commerciales et son étalage de tentations mercantiles.
Aussi, afin de tentez de vous sauver de cet esprit bassement
asservissant et aliénant, mais en vous laissant succomber quand même
aux plaisirs de la consommation, je vais vous parler de la seule chose
utile des fêtes de Noël:
LES PAPILLOTES !!!!
Vous riez !!
Vous vous gaussez !!!!
Mais pauvres créatures, vous ne vous rendez même pas compte que vous faîtes ici face à un "spécialiste" des sus-citées papillotes !!!
Après plus de 45 ans de pratique, et je vous passe les mois de
nourrice, les années de régime et de vaches maigres, je vous le
dis tout net:
"Je suis un spécialiste !!!"
D'ailleurs, si vous le souhaitez, et au risque de faire de la
publicité pour une société que je ne connais pas autrement que par ma
consommation personnelle, je peux prochainement vous donner le nom des
"MEILLEURES PAPILLOTES DU MONDE".
Mais pour ça, il faut me le demander dans les commentaires...
Donc, pour en revenir à mon sujet, je viens vous parler des papillotes.
Mais au-delà de la composition du bonbon, chocolat, truffe ou autre praliné que la papillote vous offre, je viens vous énoncer les vérités qu'elles nous dévoilent dans leur emballage, afin que vous puissiez, vous, pauvres non-consommateurs de ces délices, en bénéficier quand même.
Et il est vrai que certains en ont grand besoin...
(Petite phrase
assassine afin de ne pas décevoir tout ceux, et ils sont nombreux, qui
pensent que je n'écris que pour provoquer des réactions on ne peut plus
assassines en retour :) )
Donc, je vais me faire l'intermédiaire d'un chocolatier en même temps que celui de grands hommes et de grandes femmes, afin de tenter de reprendre à la base votre manque flagrant de culture et de connaissances tant en psychologie de bar, qu'en philosophie de comptoir.
Première citation, de la longue série qui s'annonce, parmi toutes celles que je voudrais vous transmettre au risque d'en avoir jusqu'à Pâques:
"Il faut toujours se réserver le droit de rire le lendemain de ses idées de la veille."
Napoléon Bonaparte